Zusammenfassung |
Die Anzahl der Schülerinnen und Schüler mit sozialer
Beeinträchtigung ist in den letzten Jahren merklich
angestiegen. Aufgrund dieser Tatsache entstand die
Notwendigkeit, vermehrt verstärkte Massnahmen (VM), d.h.
Zusatzlektionen zur Förderung betroffener Kinder, anzubieten.
Um dem damit verbundenen finanziellen Aufwand
entgegenzuwirken, werden richtungsändernde Massnahmen geprüft.
Vor diesem Hintergrund analysiert die vorliegende Studie den
Umgang diverser Volksschulen mit sozial beeinträchtigten
Schülerinnen und Schülern sowie die unterschiedlichen VM-
Quoten und deren Faktoren. Von besonderem Interesse waren
schulische Interventionsstrategien und Anreizsysteme, die
Wirkung des gewählten Schulmodells auf die Tragfähigkeit für
sozial beeinträchtigte Schülerinnen und Schüler sowie die
damit einhergehende Rolle der Schulkultur und einzelner
Akteurinnen und Akteure. Für die Stichprobe wurden mindestens
acht Schulträger ausgewählt, die sich in der Grösse der
Schülerpopulation und der VM-Volumen deutlich unterschieden.
Die Untersuchung ergab, dass für die Integration
verhaltensauffälliger Schülerinnen und Schüler und die
erfolgreiche Zusammenarbeit im Schulteam genügende VM-Mittel
vorhanden sein müssen, der Einsatz dieser Mittel die
Integration und Kooperation aber nicht garantiert. Bezüglich
des Schulmodells ist die integrative Förderung innerhalb der
Regelklasse keine Garantie für die Tragfähigkeit einer Schule.
Derweil begünstigt eine VM-Quote von mehr als 2.5 Prozent das
Schulklima und die Kooperation, was wiederum zur Folge hat,
dass sich einzelne Akteurinnen und Akteure weniger belastet
und überfordert fühlen. Zur Verbesserung der Situation
empfehlen die Autoren, dass sozialpsychologische Dienste den
Schulen ein Coaching im Umgang mit schwierigen Schülerinnen
und Schülern anbieten, dass auf Teamebene ad hoc und
systematisch Momente gemeinsamer Reflexion geschaffen werden,
um so einer projektiven Abwehr der Probleme mit
verhaltensauffälligen Schülerinnen und Schülern und damit
einhergehenden Stigmatisierungsprozessen entgegenzuarbeiten. |
Description du projet |
Le nombre d’élèves présentant des déficits sociaux a
sensiblement augmenté au cours des dernières années. Cet état
de fait a entraîné la nécessité de proposer de plus en plus de
mesures d’aide renforcées (MAR), c’est-à-dire des heures de
soutien supplémentaires aux enfants concernés. En vue de faire
face aux frais engendrés par ces programmes d’aide, des
mesures visant à un changement d’orientation sont examinées.
Dans ce contexte, la présente étude analyse la manière dont
diverses écoles obligatoires font face aux déficits sociaux de
certains élèves, et examine les facteurs qui influencent les
différents taux de MAR. Un intérêt particulier a été accordé
aux stratégies d’intervention scolaires et aux programmes
d’encouragement, à l’impact du modèle scolaire choisi sur la
viabilité du concept pour les élèves en situation de déficit
social, ainsi qu’au rôle de la culture scolaire et de ses
actrices et acteurs. L’échantillon étudié était composé d’un
minimum de huit établissements scolaires, très différents les
uns des autres en ce qui concerne le nombre d’élèves et le
volume de MAR. L’étude montre que des moyens financiers
suffisants sont certes nécessaires à l’intégration des élèves
présentant des troubles du comportement et à une coopération
fructueuse au sein de l’équipe scolaire, mais que le recours à
ces moyens ne garantit pas l’intégration ni la coopération. En
ce qui concerne le modèle scolaire, le soutien intégratif dans
les classes ordinaires ne garantit pas la viabilité de
l’établissement scolaire. En même temps, un taux de MAR
supérieur à 2,5% exerce une influence positive sur le climat
scolaire et la coopération, ce qui fait que les actrices et
acteurs de l’enseignement se sentent moins stressés et
dépassés. Pour améliorer la situation, les auteurs
recommandent que des services socio-psychologiques proposent
aux établissements scolaires un coaching dans la gestion des
élèves difficiles et que les équipes scolaires organisent
systématiquement des moments ad hoc de réflexion commune afin
de contrecarrer une attitude défensive projective vis-à-vis
des problèmes rencontrés avec les élèves présentant des
troubles du comportement et éviter les processus stigmatisants
qui en découlent. |
Schlüsselbegriffe |
obligatorische Schule, Volksschule, Primarschule, Sekundarstufe
I, Sonderschule, verstärkte
Massnahmen, VM, soziale Beeinträchtigung, Tragfähigkeit,
Teilpauschalierung
|
Mots-clés |
école obligatoire, école primaire, degré secondaire I, école
spécialisée, mesures d’aide renforcées. MAR, déficit social,
viabilité, montant forfaitaire |
Publikationen / Publications |
Barth, D., Kunz, A. & Luder, R. (2019). Auftragsforschung BKS Kanton Aargau: Umgang von Schulen mit sozial beeinträchtigten
Schülerinnen und Schülern. Zürich: Interkantonale
Hochschule für Heilpädagogik;
Pädagogische Hochschule Zürich |
Methodologie / Méthodes de recherche |
Mehrmethodenansatz: Datenerhebung und -auswertung anhand sowohl
qualitativer (Gruppeninterviews; qualitative Inhaltsanalyse) als
auch quantitativer (Online-Fragebogen) Forschungsverfahren |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
Schweiz |
Projekttyp / Type de recherche |
Kooperationsprojekt |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
Departement Bildung, Kultur und Sport des Kantons Aargau (BKS) |
Finanzierung / Financement |
Kanton Aargau, Abteilungen Volksschule und Sonderschulung, Heime und Werkstätten |