Zusammenfassung |
Diese Dissertation (SNF 205305) untersucht subjektive Theorien hinsichtlich der Kooperation von Regellehrpersonen und Sonderpädagoginnen und Sonderpädagogen im Kindergarten und in der Schule. Beide Professionen haben den Auftrag, gemeinsam Kinder zu fördern. Eine professionelle Kooperation ist im Berufsauftrag festgelegt und mit hohen Erwartungen von mehreren Seiten verbunden. Oft ist unklar, was unter einer guten Kooperation zu verstehen ist. Zur Untersuchung solcher Kooperationsaktivitäten interviewte die Autorin Regellehrpersonen (N = 7) sowie Sonderpädagoginnen und Sonderpädagogen (N = 7) aus den Kantonen Aargau, Basel-Stadt und Solothurn (Primarschule und Kindergarten). Danach erhob sie individuelle Strukturbilder mittels eines Struktur-Lege-Verfahrens und wertete die sich daraus ergebenden Subjektiven Theorien aus. Anhand eines deduktiv entwickelten Arbeitsmodells unterzog sie die drei Dimensionen «Nutzen», «Einflussgrössen» und «zeitliches Verändern und Lernen» einer Inhaltsanalyse, um subjektive Begründungen und Wertungen zu eruieren. Zusätzlich wertete sie deskriptive Häufigkeiten aus, um Muster zu finden, die teamspezifisch wie auch teamunspezifisch bedeutsame Aspekte von guter Kooperation aufzeigen. Die Ergebnisse zeigen, dass die Lehrpersonen Kooperation unterschiedlich wahrnehmen und teilweise auf unterschiedliche Aspekte der Dimensionen «Nutzen», «Einflussgrössen» und «zeitliches Verändern und Lernen» fokussieren, diese unterschiedlich gewichten und verschieden differenziert begründen. Kooperation bedeutet z.B. für 12 von 14 Lehrpersonen eine Form von Entlastung. Zudem entstünde durch die Kooperation ein Mehrwert für die Schülerinnen und Schüler sowie ein fachlicher Nutzen für die Lehrperson. Unterschiede in einem Team können sowohl Chancen als auch Herausforderungen bedeuten, wobei eine besondere Bedeutung den sozialen Prozessen in den Kooperationsteams zukommt und Teams in ihren Kompetenzen entsprechend unterstützt werden sollten. |
Description du projet |
La présente thèse de doctorat (FNS 205305) analyse les théories subjectives sur la coopération entre les enseignant-e-s ordinaires et les pédagogues spécialisés à l’école enfantine et à l’école primaire. L’une des missions de ces deux professions est d’œuvrer ensemble au développement des enfants. Une coopération professionnelle est ancrée dans le mandat professionnel et s’accompagne d’attentes élevées des différents acteurs. Ce qu’il faut entendre par une bonne coopération demeure souvent flou. Afin d’examiner ces activités de coopération, l’auteure a interrogé des enseignant-e-s ordinaires (N = 7) ainsi que des pédagogues spécialisés (N = 7) des cantons d’Argovie, de Bâle-Ville et de Soleure (école primaire et école enfantine). Elle a ensuite relevé des images structurelles individuelles en appliquant ce qu’on appelle le «Struktur-Lege-Verfahren», une approche consistant à valider la théorie subjective dans le dialogue, avant d’évaluer les théories subjectives en découlant. Sur la base d’un modèle de travail développé de manière déductive, l’auteure a analysé les contenus des trois dimensions «apport», «facteurs d’influence» et «apprentissage et changements temporels» afin de déterminer les justifications et évaluations subjectives. L’auteure a, de plus, évalué les fréquences descriptives en vue de trouver des schémas qui révèlent certains aspects importants d’une bonne coopération, spécifiques ou non aux équipes. Les résultats montrent que les enseignant-e-s perçoivent la coopération de différentes manières et qu’ils et elles se concentrent en partie sur différents aspects des dimensions «apport», «facteurs d’influence», «changements et apprentissage temporels». Ils/elles pondèrent ces aspects différemment et les justifient de plusieurs manières différenciées. Ainsi, pour 12 enseignant-e-s sur 14, la coopération signifie un allègement de la charge de travail. En outre, la coopération serait bénéfique pour les élèves, mais aussi pour les enseignant-e-s, puisqu’elle leur apporte un avantage technique. Les différences au sein d’une équipe peuvent être une source de chances mais aussi de défis, un rôle important étant accordé à cet égard aux processus sociaux au sein des équipes de coopération. Par ailleurs, les équipes devraient être soutenues en fonction de leurs compétences. |
Schlüsselbegriffe |
Primarschule, Kindergarten, Heilpädagogik, Sonderpädagoge, Sonderpädagogin, Regellehrperson, heilpädagogische Lehrperson, Kooperation, Subjektive Theorie, professionelle Kooperation, integrativer Unterricht,
Integration
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Mots-clés |
école primaire, école enfantine, pédagogie spécialisée, pédagogue spécialisé, enseignant-e ordinaire,
enseignant-e spécialisé, coopération, théorie subjective, coopération professionnelle, enseignement intégratif,
intégration
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Publikationen / Publications |
Marty, A. (2019). Kooperation von Regellehrpersonen und Sonderpädagoginnen und Sonderpädagogen in Kindergär-ten und Primarschulen. (Dissertation, Universität Basel).
Marty, A. (2022). Kooperation von Regellehrpersonen und Sonderpädagog*innen in Kindergärten und Primarschulen. Rekonstruktion Subjektiver Theorien. Münster: Waxmann. doi: https://doi.org/10.25656/01:24579 |
Methodologie / Méthodes de recherche |
qualitativ, halbstrukturierte Interviews, Strukturlegetechnik |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
Aargau, Basel-Stadt und Solothurn |
Projekttyp / Type de recherche |
Eigenprojekt im Rahmen einer Dissertation |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
ohne Auftrag |
Finanzierung / Financement |
Unterstützung durch den Schweizerischen Nationalfonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung (SNF: https://data.snf.ch/grants/grant/205305) |