Zusammenfassung |
Die Studie vergleicht die psychische Gesundheit von Studierenden
und Nicht-Studierenden. Zudem untersuchen die Autoren, inwieweit
die psychische Gesundheit die Wahrscheinlichkeit eines
Hochschulabschlusses bei Studierenden vorhersagt. Die Studie ist
Teil des SNF-geförderten Projekts «Understanding social
gradients in education: A psycho-social-ecological framework»
(SNF 181098), welches in übergeordnetem Rahmen die Wirkung von
psychosozialen und gesellschaftlichen Faktoren auf die
Bildungsungleichheit ergründet (vgl. SKBF 22:122, 23:051). Auf
der Basis eines Risiko- und Resilienz-Modells berücksichtigen
die Autoren fünf Dimensionen psychischer Gesundheit, die auf
unterschiedliche Weise den Bildungserfolg von Studierenden
beeinflussen können – positive Lebenseinstellung, Selbstwert,
Selbstwirksamkeit, negative Affektivität sowie Stressempfinden.
Die Daten (2005–2007) stammen aus der schweizweit
repräsentativen Längsschnittstudie «Transitions from Education
to Employment (TREE)». Die Befunde deuten darauf hin, dass die
psychische Gesundheit von Studierenden und Nicht-Studierenden
insgesamt relativ vergleichbar ist, wobei Studierende einen
leicht höheren Selbstwert, geringfügig geringere
Selbstwirksamkeit sowie mehr negative Affektivität und höheres
Stressempfinden berichteten. Die meisten Dimensionen psychischer
Gesundheit standen in keinem nennenswerten Zusammenhang mit der
Wahrscheinlichkeit eines Hochschulabschlusses. Allerdings hatte
eine positive Lebenseinstellung eine signifikant positive
Assoziation mit der Wahrscheinlichkeit, einen Hochschulabschluss
zu erlangen. Bei dieser Korrelationsanalyse zwischen psychischer
Gesundheit und Bildungserfolg waren keine signifikanten
Unterschiede zwischen Männern und Frauen feststellbar. |
Description du projet |
L’étude compare la santé mentale d’étudiant-e-s et de
non-étudiant-e-s. En outre, les auteurs cherchent à savoir dans
quelle mesure la santé mentale prédit la probabilité d’obtenir
un diplôme de l’enseignement supérieur pour les étudiant-e-s.
Elle s’inscrit dans le projet financé par le FNS intitulé
«Understanding social gradients in education: A psycho-social-ecological framework» (FNS 181098), qui explore, dans un cadre
plus large, l’effet de facteurs psycho-sociaux et sociétaux sur
les inégalités éducatives (cf. CSRE 22:122, 23:051). En
s’appuyant sur un modèle de risque et de résilience, les auteurs
considèrent cinq dimensions de la santé mentale susceptibles
d’influencer de différentes manières la réussite des étudiant-e-s: la conception positive de la vie, l’estime de soi, l’auto-efficacité, l’affectivité négative et la sensation de stress.
Les données utilisées sont issues de l’étude longitudinale
représentative pour l’ensemble de la Suisse «Transitions from
Education to Employment (TREE)» (2005–2007). Les résultats
indiquent que la santé mentale des étudiant-e-s est, dans
l’ensemble, relativement comparable à celle des non-étudiant-e-s, les étudiant-e-s faisant état d’une estime de soi légèrement
plus élevée, d’une auto-efficacité légèrement moins prononcée,
ainsi que d’une plus grande affectivité négative et d’une plus
forte sensation de stress. Aucun lien notable n’existait entre
la plupart des dimensions de la santé mentale et la probabilité
d’obtenir un diplôme de l’enseignement supérieur. Cependant, une
conception positive de la vie était associée de manière
significativement positive à la probabilité d’obtenir un diplôme
de l’enseignement supérieur. Cette analyse de corrélation entre
la santé mentale et la réussite des études n’a permis de
constater aucune différence significative entre les hommes et
les femmes. |
Schlüsselbegriffe |
psychische Gesundheit, Hochschule, Hochschulbildung, Geschlecht,
Risiko/Resilienz, Soziologie, Lebensverlauf |
Mots-clés |
santé mentale, haute école, éducation supérieure, genre,
risque/résilience, sociologie, cours de vie |
Publikationen / Publications |
Burger, K. & Strassmann Rocha, D. (2023). Mental health, gender,
and higher education attainment. Zeitschrift für
Erziehungswissenschaft, 27, 89–122.
https://doi.org/10.1007/s11618-023-01187-3 |
Methodologie / Méthodes de recherche |
empirisch-quantitative Forschung, Längsschnittstudie |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
Schweiz |
Projekttyp / Type de recherche |
Eigenprojekt im Rahmen der aufgeführten Institution |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
kein Auftrag |
Finanzierung / Financement |
SNF, Projekt 181098 «Understanding social gradients in education: A psycho-social-ecological framework» (https://data.snf.ch/grants/grant/181098) |