Zusammenfassung |
Im Mittelpunkt des SNF-Projekts AusTEr (162711) stehen die sich neu bildenden
Tagesschulen in der Stadt Zürich. Das Projekt untersucht, welche Art von Partnerschaft
zwischen Familie, Schule und Betreuung sinnvoll ist, wenn sich Kinder mehr in der Schule
aufhalten und sich die Erziehungsarbeit dadurch vermehrt vom privaten in den
öffentlichen Bereich verlagert. Vier Tagesschulen werden analysiert und miteinander
verglichen. In jeder Schule werden Interviews mit schulischen und sozialpädagogischen
Fachleuten, mit Primarschülerinnen und -schülern und deren Eltern sowie mit
ausserschulischen Akteuren geführt. Hausaufgaben wurden ebenfalls in das
Tagesschulprogramm integriert. Die Ergebnisse von acht Elterninterviews zeigen, dass
die Hausaufgaben als Erleichterung oder als Kontrollverlust wahrgenommen werden.
Ausserdem hängt das elterliche Engagement für das Lernen der Kinder zu Hause stark
von der individuellen Einstellung und dem Vertrauen der Eltern gegenüber der Schule sowie dem Schulerfolg der Schülerin oder des Schülers ab. Die Einführung der Tagesschulen
wirkt sich auch auf die Sozialarbeit aus. Die Analyse der Ergebnisse von 32 Kindern, 16
Eltern, 18 Lehrpersonen und 15 Sozialarbeitenden zeigt, dass die Verkürzung der
Mittagszeit einen entscheidenden Punkt darstellt, da weniger Sozialarbeitende mehr
Kinder zu betreuen haben. Gleichzeitig ermöglicht die Tagesschule allen Kindern den
Zugang zu mehr ausserschulischen Aktivitäten, was von den Kindern positiv
wahrgenommen wird. Auf räumlicher Ebene erhöht das Programm zwar die Anzahl Kinder
während des Mittagessens, verringert aber die Anzahl der verfügbaren Plätze. Daneben
zeigte eine Analyse von 25 Lehrpersonen und 25 Sozialarbeitenden aus der Schweiz (n =
32) und Schweden (n = 18), dass in beiden Ländern mangelndes Verständnis für die
jeweils andere Profession ein hinderlicher Faktor für eine professionelle Zusammenarbeit
ist. |
Description du projet |
Le projet AusTEr du FNS (162711) se concentre sur les nouvelles écoles à journée continue
qui sont en train de se créer dans la ville de Zurich. Le but est de déterminer quel type de
partenariat peut être utile entre les familles, l’école et l’accueil lorsque les enfants passent
plus de temps à l’école et que leur éducation bascule donc de plus en plus du domaine
privé au domaine public. Dans le cadre de ce projet, quatre écoles à journée continue sont
analysées et comparées entre elles. Dans chaque école, des entretiens sont menés avec
des expert-e-s scolaires et socio-pédagogiques, des enseignant-e-s et élèves du
primaire, les parents et des acteurs extrascolaires. Les devoirs ont eux aussi été intégrés
au programme de l’école à journée continue. Les résultats de huit entretiens menés avec
des parents révèlent que la prise en charge des devoirs peut être perçue comme un
soulagement, mais aussi comme une perte de contrôle. De plus, l’implication des parents
en ce qui concerne l’apprentissage des enfants à la maison dépend fortement de l’attitude
personnelle des parents et de la confiance qu’ils accordent à l’école ainsi que de la
réussite scolaire de l’élève. L’introduction des écoles à journée continue a également des
répercussions sur le travail social. L’analyse des résultats de 32 enfants, 16 parents, 18
enseignant-e-s et 15 travailleuses et travailleurs sociaux montre que le fait d’avoir écourté
la pause déjeuner constitue un point décisif étant donné qu’un nombre réduit de
travailleuses et travailleurs sociaux est en charge d’un plus grand nombre d’enfants. En
même temps, l’école à journée continue ouvre à tous les enfants la possibilité de pratiquer
davantage d’activités extrascolaires, ce qu’ils apprécient. Sur le plan spatial, il est à noter
que le programme augmente le nombre d’élèves présents au déjeuner, mais qu’il réduit
en même temps le nombre d’espaces disponibles pour d’autres activités. Par ailleurs,
l’analyse de 25 enseignant-e-s et 25 travailleuses et travailleurs sociaux en Suisse (n =
32) et en Suède (n = 18) révèle qu’un manque de compréhension vis-à-vis de la
profession de l’autre groupe entrave la coopération professionnelle. |
Schlüsselbegriffe |
Primarstufe, Primarschule, Tagesschule, Sozialarbeit, Zusammenarbeit |
Mots-clés |
degré primaire, école primaire, école à journée continue, travail social, coopération |
Publikationen / Publications |
Chiapparini, E., Schuler, P., Scholian, A., Schuler Braunschweig, P. & Kappler, C. (2019). All-Day Schools and Social Work: A Swiss Case Study. International Journal of Research on
Extended
Education, 7(1), 60–68. doi: http://doi.org/10.5281/zenodo.3570973
Schuler Braunschweig, P., Elvstrand, H., Kappler, C., Lago, L., Jansson, M. & Chiapparini, E.
(2019). Teaching in
Different Spaces – How Professionals Work Together in All-Day Schools in Switzerland
and in Leisure Time Centres
in Sweden. In M. Schüpbach (Hrsg.), Extended Education from an International
Comparative Point of View (S. 85–99). Wiesbaden. Springer.
Schuler Braunschweig P., Kappler, C. & Chiapparini, E. (2019). No More Homework?
Negotiations of Parental Engagement in All-Day Schools. International Journal About
Parents in Education, 11(1), 46–54.
doi: http://doi.org/10.5281/zenodo.3570753 |
Methodologie / Méthodes de recherche |
Interview, qualitatives Design, Grounded Theory, MAXqda |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
Kanton Zürich |
Projekttyp / Type de recherche |
Eigenprojekt der Institution im Rahmen des Projekts AusTEr (Aushandlungsprozesse der pädagogischen Zuständigkeiten in Tagesschulen im Spannungsfeld öffentlicher Erziehung) |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
ohne Auftrag |
Finanzierung / Financement |
SNF, Projektnr. 162711, http://p3.snf.ch/project-162711; Projekt AusTEr (Aushandlungsprozesse der pädagogischen Zuständigkeiten in Tagesschulen im Spannungsfeld öffentlicher Erziehung) |