Zusammenfassung |
Das Ziel dieser Studie der Universität St. Gallen – Teil einer
Dissertation über Peereffekte in der Schule – ist es, theoretisch
und empirisch die Folgen von Fehlklassifikation in linearen
Mittelwertmodellen (linear-in-means models, LIM) zu untersuchen.
In einem LIM beeinflusst der Durchschnitt der Ausprägung einer
Variablen einer Gruppe die Ausprägung der Variablen bei einem
Gruppenmitglied linear. Die theoretische Analyse basiert auf einem
einfachen LIM, welches lediglich eine binäre Eigenschaft umfasst,
und zeigt, dass bei zufälliger Gruppenbildung und
nichtdifferenziellem Messfehler der Peereffekt durch einen
«eigenen» und einen «Verwischungseffekt» verzerrt wird. Steigt die
Anzahl der Gruppen ins Unendliche, verschwindet der
Verwischungseffekt, während der eigene Effekt in eine einfache
Abschwächungsverzerrung übergeht, die proportional zu den
Fehlklassifikationsraten ist. Die theoretischen Ergebnisse werden
auf die Schätzung des Peereffekts von Jugendlichen mit
Lernschwierigkeiten (gemessen als binäre Eigenschaft) auf die
Leistung anderer Schülerinnen und Schüler angewendet. Die Analyse
basiert auf Daten aller Achtklässlerinnen und Achtklässler im
Kanton St. Gallen von 2008 bis 2017 mit Informationen über
Schulleistungen (Stellwerk-Test Mathematik),
Hintergrundcharakteristiken sowie die Zusammensetzung von Schulen
und Klassen (Schule, Bildungsweg, Klassenzimmer). Die Daten werden
mit Berichten des Schulpsychologischen Dienstes (SPD)
zusammengeführt. Diagnosen von Lernbehinderungen durch
psychologische Fachpersonen fungieren als «wahres» Mass für
geringe Fähigkeiten, Überweisungen an den SPD und
Klassenwiederholungen als Proxy-Variablen dafür. Die empirischen
Ergebnisse reproduzieren die theoretischen Befunde, soweit die
betrachteten Proxy-Variablen ausschliesslich Lernprobleme
wiedergeben: Dass einige Proxy-Variablen möglicherweise weitere
Schülerinnen- und Schülermerkmale erfassen (etwa dass auch
Jugendliche mit Verhaltensproblemen an den SPD überwiesen werden),
kann zu weiteren Verzerrungen führen und auch die durch die
Fehlklassifikation verursachte Verzerrung beeinflussen. |
Description du projet |
La présente étude fait partie d’une thèse de doctorat portant sur
les effets de pairs à l’école et a été réalisée à l’Université de
Saint-Gall. Son objectif est d’examiner théoriquement et
empiriquement les conséquences des erreurs de classification dans
les modèles linéaires en moyenne (linear-in-means models, LIM).
Dans un LIM, la moyenne de l’expression d’une variable d’un groupe
influence linéairement l’expression de la variable chez un-e
membre du groupe. L’analyse théorique se base sur un LIM simple,
qui ne comprend qu’une propriété binaire, et montre qu’en cas de
groupement aléatoire et d’erreur de mesure non différentielle,
l’effet de pair est déformé par un «effet propre» et un «effet de
dispersion». Lorsque le nombre de groupes tend vers l’infini,
l’effet de dispersion disparait, tandis que l’effet propre se
transforme en un simple biais d’atténuation proportionnel aux taux
d’erreurs de classification. Les résultats théoriques sont
appliqués à l’estimation de l’effet de pairs des jeunes présentant
des difficultés d’apprentissage (mesuré en tant que propriété
binaire) sur les performances des autres élèves. L’analyse se base
sur les données de tous et toutes les élèves de 8e année dans le
canton de Saint-Gall de 2008 à 2017, comprenant des informations
sur le rendement scolaire (test Stellwerk pour les mathématiques),
les caractéristiques du contexte ainsi que la composition des
écoles et des classes (école, parcours éducatif, salle de classe).
Les données sont combinées avec des rapports du service
psychologique scolaire. Les diagnostics de troubles
d’apprentissage établis par des professionnel-le-s en psychologie
servent de «véritable» mesure d’un faible niveau de capacité,
tandis que les orientations vers le service psychologique scolaire
et les redoublements font office de variables proxy pour celles-ci. Les résultats empiriques reproduisent les résultats
théoriques, dans la mesure où les variables proxy considérées
reflètent uniquement des problèmes d’apprentissage: le fait que
certaines variables proxy puissent éventuellement saisir d’autres
caractéristiques des élèves (notamment que les jeunes présentant
des troubles du comportement soient également orientés vers le
service psychologique scolaire) peut être à l’origine de biais
supplémentaires et également influencer le biais causé par les
erreurs de classification. |
Schlüsselbegriffe |
Sekundarschule I, lineare Modelle, linear-in-means models, lineares
Mittelwertmodell, Peer-Effekte, Gruppen, Gruppenbildung, Leistung,
Schulleistung, Schulpsychologischer Dienst, Lernschwierigkeiten
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Mots-clés |
degré secondaire I, modèles linéaires, linear-in-means models,
modèle linéaire de moyenne, effets des pairs, goupes, formation de
groupes, performance, rendement scolaire, service de psychologie
scolaire, difficultés d'ap-prentissage difficultés d’apprentissage
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Publikationen / Publications |
Balestra, S., Eugster, B. & Puljic, F. (2023). Misclassification in
linear-in-means models: Theory and application to peer effects
estimation (CEPR Discussion Paper No. 18342). CEPR Press.
https://cepr.org/publications/dp18342Puljic, F. (2024). Unraveling peer effects in education
(Dissertation Universität St. Gallen). |
Methodologie / Méthodes de recherche |
theoretische und empirisch-quantitative Forschung, Linear-in-Means-
Modelle |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
Kanton St. Gallen |
Projekttyp / Type de recherche |
Eigenprojekt der erwähnten Institutionen und im Rahmen einer Dissertation |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
kein Auftrag |
Finanzierung / Financement |
Eigenmittel und im Rahmen der aufgeführten Institutionen |