Zusammenfassung |
Die Swiss StudentLife Study (SNF: 169965) verfolgt das Ziel,
die Entstehung von Studierenden-Beziehungen sowie deren kurz-
und langfristigen Auswirkungen auf die Studienleistungen und
das Wohlbefinden zu verstehen, siehe dazu auch SKBF 21:026).
Hierfür wurden drei Studierendenkohorten, die in den Jahren
2016 oder 2017 ein Bachelor-Studium an einer Schweizer
Universität begonnen hatten, sechsmal während des ersten
Studienjahrs befragt. Es wurden drei Arten von sozialen
Beziehungen erfasst: angenehme Interaktionen, Freundschaften
und Lernbeziehungen. Die Befunde, welche an dieser Stelle
vorgestellt werden, basieren auf den Daten der 2016-er
Kohorte, die 226 Studierende der Ingenieurwissenschaften
umfasst. Die Ergebnisse zeigen, dass es kurzfristig mehr
Freundschaften zwischen Studierenden gibt, die beim
Einführungstag zwei Monate vor Studienbeginn zusammen in einer
Kleingruppe waren. Weiter stellen die Autorinnen und Autoren
fest, dass sich Freundschaftsbeziehungen im Verlaufe der Zeit
informell zu Lernbeziehungen weiterentwickeln. Dieser Prozess
dürfte von zentraler Bedeutung sein, da das gemeinsame Lernen
mit Kommilitoninnen und Kommilitonen einen bedeutsamen
Einfluss auf den Prüfungserfolg hat. Personen, die zweieinhalb
Monate vor der Jahresendprüfung auf die Frage, mit wem sie
regelmässig lernen würden, von mindestens einer oder einem
Mitstudierenden aufgeführt wurden, erlangten im Durchschnitt
eine deutlich bessere Note als jene, die von niemandem
aufgeführt wurden. Zudem weisen sie eine signifikant höhere
Wahrscheinlichkeit auf, die Prüfung am Ende des ersten
Studienjahres zu bestehen. Die Ergebnisse lassen sich nicht
durch individuelle Unterschiede in den sozioökonomischen
Faktoren oder der Maturanote erklären. Der Zusammenhang wird
auch nicht durch den Umstand erklärt, dass Personen, die von
ihren Mitstudierenden als besonders intelligent wahrgenommen
werden, häufiger Lernpartnerinnen oder Lernpartner haben. |
Description du projet |
L’étude Swiss
StudentLife Study (FNS: 169965) cherche à
comprendre comment se nouent les relations entre étudiant-e-s
et quels en sont les effets à court et long terme sur les
performances académiques et le bien-être, voir également CSRE 21:026). À cet effet, trois cohortes d’étudiant-e-s ayant
commencé un cursus de bachelor dans une université suisse en
2016 ou 2017 ont été interrogées à six reprises au cours de
leur première année d’études. Trois types de relations
sociales ont été recensés: interactions agréables, amitiés et
relations d’apprentissage. Les résultats présentés ici
s’appuient sur les données de la cohorte de 2016, qui regroupe
226 étudiant-e-s en sciences de l’ingénieur. D’après ces
résultats, des amitiés se sont plus rapidement créées lorsque
les étudiant-e-s faisaient partie d’un petit groupe lors de la
journée découverte organisée deux mois avant le début des
études. Les auteur-e-s ont également constaté que les
relations amicales se développaient au cours du temps
informellement en relations d’apprentissage. Cette évolution
revêt certainement une importance majeure puisque
l’apprentissage en commun a un impact significatif sur la
réussite aux examens. Deux mois et demi avant l’examen de fin
d’année, les étudiant-e-s ont été interrogé-e-s sur la
question de savoir avec qui ils/elles apprenaient
régulièrement: les personnes qui ont été mentionnées par au
moins un ou une étudiant-e ont obtenu en moyenne une bien
meilleure note que celles qui n’ont jamais été mentionnées.
Ces personnes ont également beaucoup plus de chances de
réussir leur examen à la fin de la première année d’études.
Ces résultats ne s’expliquent ni par des différences de milieu
socio-économique ou de note de maturité, ni par le fait que
les personnes jugées particulièrement intelligentes par les
autres étudiant-e-s ont plus souvent des partenaires
d’apprentissage. |
Schlüsselbegriffe |
Hochschule, universitäre Hochschule, Universität, Studienerfolg,
Studienleistung, Noten, soziale Netzwerke |
Mots-clés |
haute école, haute école universitaire, université, réussite
dans les études, performance académique,
notes, réseaux sociaux
|
Publikationen / Publications |
Stadtfeld, C., Vörös, A., Elmer, T.,
Boda, Z. & Raabe, I. J. (2019). Integration in Emerging Social Networks Explains Academic Failure and
Success. PNAS, 116(3), 792–797.
doi: https://doi.org/10.1073/pnas.1811388115
Boda, Z., Elmer, T.,
Vörös, A. & Stadtfeld, C. (2020). Short-term and long-term effects of a social network intervention on
friendships among university students. Scientific Reports, 10(2889).
doi: https://doi.org/10.1038/s41598-020-59594-z |
Methodologie / Méthodes de recherche |
Längsschnittdesign mit mehreren Kohorten, quantitative Befragung
(Online-Erhebung), statistische Auswertung (dynamische
Netzwerkanalysen, Regressionsmodelle) |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
eine universitäre Hochschule der Deutschschweiz |
Projekttyp / Type de recherche |
Eigenprojekt |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
kein Auftraggeber |
Finanzierung / Financement |
Schweizerischer Nationalfonds (SNF) Nr. 16995, siehe http://p3.snf.ch/project-169965 und Rektorat der ETH Zürich |