Zusammenfassung |
In ihrer bildungstheoretischen Dissertation macht die Forscherin
Arbeiten zur Bildkompetenz, die den Blick auf die Artikulation von
Beschreibungen richten, für die allgemeine Bildungstheorie
fruchtbar. In einem ersten Schritt problematisiert sie die
transformationstheoretische, die argumentationstheoretische und die
widerspruchstheoretische Perspektive auf Bildung. Allen liegt
implizit das Konzept des Menschen als Ausdruckswesen zugrunde, das
die Autorin expliziert und historisch, anthropologisch und
philosophisch beleuchtet. Eine Beschreibung des praktischen
Bildungsprozesses geht den drei Perspektiven ab. Die Forscherin
definiert den Bildungsprozess als Artikulationsprozess, in welchem
der Mensch am Ausdruck der «expressiven Differenz» zu arbeiten hat.
Den Begriff «expressive Differenz» schlägt die Autorin für den
Unterschied zwischen der Wahrnehmung eines Erfahrungsgegenstands
und dem Ausdruck dieser Wahrnehmung vor. Das Bewusstsein der
Differenz macht die Frage nach dem treffenden Ausdruck erst
möglich, aber es impliziert keineswegs, welches der treffende
Ausdruck ist. Das Ziel des Bildungsprozesses sollte nicht sein, die
Differenz von Ausdruck und Ausgedrücktem zum Verschwinden zu
bringen, die endgültige Form zu finden. Vielmehr eröffnet die
Differenz einen Raum, der durch die Arbeit am Ausdruck gestaltbar
wird. Die Forscherin assoziiert diesen Raum und diese Arbeit mit
dem «Bildungsversprechen der Freiheit». In der Arbeit am Ausdruck
ästhetischer Wahrnehmungen, über die nicht diskursiv-logisch
geurteilt werden kann, zeigt sich die Spannung zwischen
subjektiver, sinnlicher Gewissheit und objektivierbarem Wissen. Die
subjektive Gewissheit ist wesentlich für die artikulierende Arbeit
am Ausdruck der expressiven Differenz. Der Bildungsprozess, der ja
in dieser Arbeit am Ausdruck besteht, ist daher ohne den Einbezug
der subjektiven Gewissheit, also der ästhetischen Dimension, nicht
denkbar. |
Description du projet |
Dans sa thèse de doctorat en théorie de l’éducation, la chercheuse
fait fructifier pour la théorie générale de l’éducation des travaux
sur la compétence en matière d’image qui mettent l’accent sur
l’articulation des descriptions. Elle commence par problématiser la
perspective sur l’éducation sous l’angle de trois théories : celle
de la transformation, celle de l’argumentation et celle de la
contradiction. Toutes ces théories reposent implicitement sur le
concept de l’être humain en tant que être expressif, concept que
l’auteure explique et met en lumière d’un point de vue historique,
anthropologique et philosophique. Ces trois perspectives ne
décrivent pas le processus éducatif pratique. La chercheuse définit
le processus éducatif comme un processus d’articulation au sein
duquel l’être humain doit travailler sur l’expression de la
«différence expressive». L’auteure suggère le terme «différence
expressive» pour désigner la différence entre la perception d’un
objet d’expérience et l’expression de cette perception. Il faut
d’abord prendre conscience de cette différence pour pouvoir
chercher l’expression appropriée, sans toutefois pouvoir déterminer
laquelle des expressions est adéquate. Le processus éducatif ne
devrait pas avoir pour objectif de faire disparaître la différence
entre l’expression et ce qui est exprimé, de trouver la forme
définitive. La différence crée plutôt un espace qui peut être
façonné en travaillant sur l’expression. La chercheuse associe cet
espace et ce travail à la «promesse de liberté par l’éducation».
Dans le travail sur l’expression de perceptions esthétiques qui ne
peuvent pas être jugées de manière logique et discursive, se
manifeste la tension entre la certitude subjective et sensuelle,
d’une part, et le savoir objectivable d’autre part. La certitude
subjective est essentielle pour le travail articulatoire sur
l’expression de la différence expressive. Le processus éducatif,
qui consiste justement à travailler sur l’expression, ne peut donc
se concevoir sans prendre en compte la certitude subjective, c’est-
à-dire la dimension esthétique. |
Schlüsselbegriffe |
Bildungsphilosophie, Bildung, Ästhetik, Bildungstheorie,
philosophische Anthropologie, ästhetische Bildung, Ausdruck,
Artikulation, Pädagogik, Expressivität |
Mots-clés |
philosophie de l’éducation, éducation, esthétique, théorie de
l’éducation, anthropologie philosophique,
éducation esthétique, expression, articulation, pédagogie,
expressivité
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Publikationen / Publications |
Park, A. (2022). Die Arbeit am Ausdruck: zur ästhetischen Dimension
von Bildung. Eine artikulationstheoretische Annäherung, transcript:
Pädagogik. https://www.transcript- verlag.de/media/pdf/05/58/31/oa9783839460344.pdf
Park, A. & Reichenbach, R. (2012). Zusammenfassender Schlussbericht
zum Teilprojekt «Bildkompetenz»
(Unveröffentlichter Bericht zu Händen der Leitung des Gesamtprojekts
«Shaping the Future» – Das Bild als Generator von Innovation
[FHNW/01.10.2010-30.09.2012]). Universität Basel.
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Methodologie / Méthodes de recherche |
Literaturrecherche, bildungstheoretische Reflexion |
Geographische Angaben / Délimitation géographique |
Schweiz |
Projekttyp / Type de recherche |
Eigenprojekt im Rahmen einer Dissertation |
Auftraggeber / Mandant de la recherche |
ohne Auftrag |
Finanzierung / Financement |
Eigenmittel und im Rahmen der finanziellen Mittel der Institution |